Cette zone pavillonnaire était destinée aux familles à revenus modestes, comme souvent au début du XXe siècle. Aujourd'hui la situation s'est totalement inversée, plus d'un siècle après sa construction.
On se heurte à un rempart mi-pierreux / mi-végétal dès la sortie du métro. En fait la butte est en partie issue des déblais des rues Gambetta et République, lorsqu'elles ont été érigées.
Ainsi les maisons dominent une partie du boulevard Mortier.
Le long du boulevard Mortier.
Lorsqu'on arrive sur la butte tout semble figé. Pavés, briques, jardins, lierre : tout évoque la belle époque du passé.
Il faut trouver le bon timing pour visiter le quartier. Le charme passe beaucoup par la végétation. Quelques semaines plus tôt je n'aurais trouvé que branchages et filaments de lierre.
Les rues sont frappées d'une interdiction de stationner, nous ne croiserons que très peu de voitures.
Cette maison fait l'angle des rues Jules Siegfried et Irénée Blanc. Elle est un petit peu comme le symbole de la Campagne à Paris.
Beaucoup de briques, je trouve que ce matériau a énormément de charme.
La pierre meulière n'est pas en reste, alors que pourtant je l'aime beaucoup moins.
Un dernier cliché vu depuis porte de Bagnolet avant que le soleil ne se retrouve de nouveau voilé pour le reste de la journée ! Comme quoi il faut profiter de tous les rayons que l'astre blanc dissémine de-ci de-là .