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A l'origine, Quiberon était une île. Seulement une lente accumulation de sédiments a fini par constituer un tombolo, une langue de sable reliant Quiberon au continent.
C'est ce qui rend la presqu'île accessible en automobile. D'ailleurs lorsque l'on franchi le tombolo on peut distinguer l'océan à gauche et à droite de la route. C'est une vision plutôt rare.
La côte sauvage est divisée en deux parties :
- en haut à gauche et ci-dessous, la partie ouest de la presqu'île. Ce sont des falaises massives et spectaculaires
- en haut à droite, l'extrémité sud de Quiberon. Les rochers sont beaucoup plus petits et on peut plus facilement s'approcher de l'eau.
En ralentissant ne serait-ce légèrement le temps de prise de vue on peut capturer le mouvement des vagues. Il ne reste plus qu'à marcher un peu partout pour trouver un point de vue intéressant.
Ce qui me plaît c'est justement de crapahuter entre les rochers. De temps en temps on tombe sur le spectacle de la mer qui s'écrase sur les falaises d'une façon spectaculaire.
Ailleurs on tombe sur un simple filet d'eau prisonnier entre les rocher. Ces endroits secondaires attirent moins les touristes. Mais ils permettent de passer un moment au calme éloigné de la foule.
Continuant notre route le long des côtes, je tenais à aller visiter l'Arche de Port-Blanc. Nous nous garons à ce qui nous paraît être le parking le plus proche et commençons notre randonnée.
La promenade dans le sable change des sentiers durs que nous avons arpentés jusqu'ici. Nous restons à l'affût, espérant tomber sur ce fameux tunnel.
Puis finalement nous y arrivons. Mais le sentier qui descend à la plage est actuellement fermé. Tiraillé entre l'envie d'enjamber la limite en fil de fer et de respecter les consignes, je fini par rester en haut pour prendre une photo lointaine.
Sources :
